Entre un vrai-faux départ et un vrai-faux retour, sans oublier quelque hommage iconoclaste, voilà une vraie-fausse suite qui se situe dans le passé - la jeunesse - des personnages de cette série à laquelle je resterai (je crois) fidèle quoi qu'il arrive.
Qui plus est, cette réinvention se nourrit de l'imagination du scénariste originel, et le graphisme ne trahit pas l'héritage du dessinateur qui a créé tous ces univers qui m'ont fait rêver.
Voilà qui promet encore de beaux paradoxes recélés par les sauts spatiotemporels !
Qui songerait à s'en plaindre ?
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