Ca y est, c'est fini.
Fin du cycle pour les héros et fin de cycle pour les auteurs envers lesquels j'ai une dette de reconnaissance.
Je ne parviens pas à faire la part entre nostalgie et soulagement : nostalgie de l'imagerie imaginaire qui m'a accompagné depuis l'enfance -avec Star Wars et Le Cinquième Elément- et soulagement d'échapper dorénavant à la perpétuelle attente du prochain album.
Fin du cycle pour les héros et fin de cycle pour les auteurs envers lesquels j'ai une dette de reconnaissance.
Je ne parviens pas à faire la part entre nostalgie et soulagement : nostalgie de l'imagerie imaginaire qui m'a accompagné depuis l'enfance -avec Star Wars et Le Cinquième Elément- et soulagement d'échapper dorénavant à la perpétuelle attente du prochain album.
Pour être tout à fait franc, j'avais un peu de mal à suivre les développements du scénario depuis quelques temps, entre messages politiques sous-jacents et philosophie mystique subliminale.
Mais je serai resté inconditionnellement fidèle car le charme aura agi jusqu'au bout.
Mais je serai resté inconditionnellement fidèle car le charme aura agi jusqu'au bout.
Et le défilé des principaux personnages rencontrés au fil des sauts spatiotemporels, auquel donne lieu ce dernier chapitre, a la saveur du générique de fin d'un film qu'on a beaucoup aimé.
Et dire que je n'ai pas encore commencé ! En tous les cas, ça donne envie de plonger dans cette lecture au long cours...
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