Je m'en défierais même assez.
J'aspire à l'osmose.
Et on peut parvenir à l'osmose avec plus d'une personne -plus ou moins durablement-, selon une alchimie propre à chaque relation.
L'osmose apporte la paix.
Par bouffées d'ambition, j'espère parfois atteindre la sérénité.
Que seule, peut-être, la fusion permet d'approcher.
Je me demande finalement si je n'éprouve pas une sorte de nostalgie de fusion, quoi que j'en dise. On prône peut-être l'osmose quand la fusion semble inaccessible... ou trop risquée.
Go ! (note de l'illustrateur intrépide)
J'aspire à l'osmose.
Et on peut parvenir à l'osmose avec plus d'une personne -plus ou moins durablement-, selon une alchimie propre à chaque relation.
L'osmose apporte la paix.
Par bouffées d'ambition, j'espère parfois atteindre la sérénité.
Que seule, peut-être, la fusion permet d'approcher.
Je me demande finalement si je n'éprouve pas une sorte de nostalgie de fusion, quoi que j'en dise. On prône peut-être l'osmose quand la fusion semble inaccessible... ou trop risquée.
Encore du paradoxe paradoxal... C'est un peu comme lorsque l'on reconnait que l'amour est un aliénation et que l'on réclame une camisole et des chaînes...
RépondreSupprimerEt pourquoi pas un fouet, pendant qu'on y est ?
RépondreSupprimerMais j'admets qu'il y a de ça...
Quant au caractère paradoxal de mes propos, je me permets un petit rappel : http://aphorisme-billevesees.blogspot.com/2009/01/paradoxe-allemand.html
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