Les hommes développent des névroses ou s'inventent des causes à défendre en guise de "raisons de vivre", pour leur rendre supportable une existence qu'ils devraient en toute logique chercher à fuir et qu'ils craignent par dessus tout de perdre.
Plus souvent à tuer pour elle, notez bien.
Si on peut choisir.
Tant qu'à faire.
De préférence.
Si possible.
Hein ?
Bof.
J'ai plein d'idées... pour illustrer, pas pour expliquer ;) (ndl'i terre à terre)
Un élément de réponse de Raymond Queneau ????
RépondreSupprimerl'homme dissipe son angoisse en inventant ou en adaptant des malheurs imaginaires.
Citation trouvée sur le site almaterra.overblog.com
C'est vrai aussi :
RépondreSupprimerles hommes adorent jouer à se faire peur avec des dangers qui ont ceci de rassurant qu'ils s'inscrivent dans le virtuel, histoire d'oublier les dangers réels.
Et adorent s'en remettre à d'autres pour les affronter -de nos jours, on dit "gérer"-, histoire de garder la conscience au calme et de pouvoir critiquer à leur aise la méthode ou les résultats.
Merci pour le lien, au fait...
RépondreSupprimerUne mine (de rien) !
la peur n'évite pas le danger dit on, la gérer sans doute, la digérer, j'en doute (enfin je dis çà j'ai même pas peur:).
RépondreSupprimerfaut me répéter la question, j'ai pas tout compris.
RépondreSupprimer@ Mère Castor
RépondreSupprimerJe reconnais que ma formulation n'était pas d'une limpidité cristalline (...).
Je viens d'éditer une nouvelle version.
Et comme ça ?
PS : je ne me comprends pas toujours moi-même
Ah maintenant je comprends plus mon commentaire :)
RépondreSupprimerSont chiants les castors du samedi soir.....
@ Loutre Loyale
RépondreSupprimerVotre commentaire fait dorénavant écho à une non-question.
Il constitue donc une non-réponse pertinente.
Je ne sais pas si je suis très clair...
Hamster Jovial
Je serai - comme toujours - basique... en signalant qu'il "est" des causes à défendre, dans le réel... et que certaines d'entre elles ont tout simplement guidé mes pas ;)
RépondreSupprimerEt leur "noirceur" a pour corollaire la possibilité de révéler la beauté du monde.
Hein ? mais qu'est-ce que je dis moi ?
J'ai l'impression de comprendre ce que tu dis.
RépondreSupprimerDu coup, je ne suis plus sûr de ce que j'ai écrit.
Déjà en l'écrivant je n'en étais pas convaincu.
En tout cas pas totalement.
Mais un peu quand même.