A Najac, on monte, puis on descend, puis on monte, puis on gravit.
Quand on est tout en haut, on voit le monde comme comme un décor de train miniature idéal.
Puis on redescend, puis on remonte pour redescendre tout en bas.
Et sur tout le chemin on en prend plein les yeux, toujours à regarder en l'air.
Quand on est tout en haut, on voit le monde comme comme un décor de train miniature idéal.
Puis on redescend, puis on remonte pour redescendre tout en bas.
Et sur tout le chemin on en prend plein les yeux, toujours à regarder en l'air.
C'est beau ce village tassé en haut d'une crête, pour voir venir.
RépondreSupprimerDe Najac j'ai ramené il y a longtemps une dédicace de Jean-Louis Pesch... "repreneur" de mes amis d'enfance Sylvain et Sylvette !!!
RépondreSupprimerTes images
au beau village
rendent hommage