jeudi 5 novembre 2009

La tentation qui me vient


Tous les soirs en éteignant mon ordinateur je coche "Arrêter le système".
Si seulement...







Subversif ! (note de l'illustrateur conformiste)

21 commentaires:

  1. Ah nÖn hein ! On dirait moi !

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  2. Oui, si seulement... Remarquez, on peut toujours se mettre en veille.

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  3. Je suis déjà en état de veille*.
    Bientôt l'état d'Eveil ?



    * avec la petite lumière rouge qui clignote

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  4. Un conseil, ne le rallumez pas le matin.
    Adieu mon cher Anastase, ce fut un plaisir ;;;))

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  5. Ben voilà, c'est bien ça le problème : comment pourrai-je me passer de vous (tous) ?

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  6. Une autre solution pourrait être de passer à Mac.
    Moi, ce que j'en dis...

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  7. Et pourquoi pas à Mach 2 ?
    Je plane très bien comme ça, pas besoin de dépasser la vitesse du çon.
    D'autant que je ne suis pas une lumière.

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  8. ... un lumignÖn - en deux mots ça marche aussi) ??? Et même plus...

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  9. Et Össi... prière de ne pas passer à Mac dÖ ;)

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  10. Une diode d'alarme, tout au plus (voir plus haut)

    :o))

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  11. Mac d'Ö, c'est la suite du roman histoire d'O ? ou enfin elle trouverait une cellule de soutien psychologique ?

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  12. A mes risques et périls consentis (en un seul mot), je veux bien faire partie de ladite cellule, camarade, comme membre actif si possible.

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  13. Pour arrêter le système, il faudrait une révolution, n'est-ce pas. Et encore...

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  14. Une révolution n'arrête pas un système mais le remplace par un autre.
    Or, je ne sache pas qu'une organisation politico-économique ou une autre ait jamais rendu quiconque heureux -malheureux, oui- , ni résolu la question fondamentale : qui m'aime ?
    Je me demande si vous me suivez...

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  15. Je vous suis.
    Et puis les révolutions ont toujours lieu dans les idées, parfois dans les rues, mais jamais dans les assiettes - n'est-ce pas ?

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  16. La société est comme un verre d'eau, à la surface duquel flotte une couche d'huile.
    Lors d'une révolution, tout est secoué et émulsionné (émotionné, aussi).
    Puis l'huile (les huiles ?), doucement, remonte à la surface.

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