Une révolution n'arrête pas un système mais le remplace par un autre. Or, je ne sache pas qu'une organisation politico-économique ou une autre ait jamais rendu quiconque heureux -malheureux, oui- , ni résolu la question fondamentale : qui m'aime ? Je me demande si vous me suivez...
La société est comme un verre d'eau, à la surface duquel flotte une couche d'huile. Lors d'une révolution, tout est secoué et émulsionné (émotionné, aussi). Puis l'huile (les huiles ?), doucement, remonte à la surface.
Ah nÖn hein ! On dirait moi !
RépondreSupprimerTiens donc !
RépondreSupprimerOui, si seulement... Remarquez, on peut toujours se mettre en veille.
RépondreSupprimerOu en wu wei ;)
RépondreSupprimerJe suis déjà en état de veille*.
RépondreSupprimerBientôt l'état d'Eveil ?
* avec la petite lumière rouge qui clignote
Un conseil, ne le rallumez pas le matin.
RépondreSupprimerAdieu mon cher Anastase, ce fut un plaisir ;;;))
Pas con, ça...
RépondreSupprimerBen voilà, c'est bien ça le problème : comment pourrai-je me passer de vous (tous) ?
RépondreSupprimerEt nous donc ?
RépondreSupprimer;o)
RépondreSupprimerUne autre solution pourrait être de passer à Mac.
RépondreSupprimerMoi, ce que j'en dis...
Et pourquoi pas à Mach 2 ?
RépondreSupprimerJe plane très bien comme ça, pas besoin de dépasser la vitesse du çon.
D'autant que je ne suis pas une lumière.
... un lumignÖn - en deux mots ça marche aussi) ??? Et même plus...
RépondreSupprimerEt Össi... prière de ne pas passer à Mac dÖ ;)
RépondreSupprimerUne diode d'alarme, tout au plus (voir plus haut)
RépondreSupprimer:o))
Mac d'Ö, c'est la suite du roman histoire d'O ? ou enfin elle trouverait une cellule de soutien psychologique ?
RépondreSupprimerA mes risques et périls consentis (en un seul mot), je veux bien faire partie de ladite cellule, camarade, comme membre actif si possible.
RépondreSupprimerPour arrêter le système, il faudrait une révolution, n'est-ce pas. Et encore...
RépondreSupprimerUne révolution n'arrête pas un système mais le remplace par un autre.
RépondreSupprimerOr, je ne sache pas qu'une organisation politico-économique ou une autre ait jamais rendu quiconque heureux -malheureux, oui- , ni résolu la question fondamentale : qui m'aime ?
Je me demande si vous me suivez...
Je vous suis.
RépondreSupprimerEt puis les révolutions ont toujours lieu dans les idées, parfois dans les rues, mais jamais dans les assiettes - n'est-ce pas ?
La société est comme un verre d'eau, à la surface duquel flotte une couche d'huile.
RépondreSupprimerLors d'une révolution, tout est secoué et émulsionné (émotionné, aussi).
Puis l'huile (les huiles ?), doucement, remonte à la surface.